references
1. Voir notamment : Alain-Michel Boyer, Patrick Girard et Marceau Rivière, Arts premiers de Côte d’Ivoire, Saint-Maur, Editions Sépia, 1997, p. 120, pl. 130 ; Hélène Joubert, Visions d’Afrique, Taiwan, National Museum of History, 2003 ; François Neyt, Trésors de Côte d’Ivoire, Bruxelles, Fonds Mercator, 2014, p. 294-295. 2. Voir une reproduction et le commentaire dans : Jean Paul Barbier-Mueller (éd.), Arts de la Côte d’Ivoire, tome II, p. 132, pl. 223, Genève, 1993. Version américaine : Arts of Côte d’Ivoire, diffusion O.A.N., vol. 2, p. 132. 3. Voir p. 252, pl. 8.47, dans : Doran H. Ross, Gold of the Akan from the Glassell Collection, Houston, The Museum of Fine Arts, Merrell Publishers Ltd, 2002. Et : Alain-Michel Boyer, Les Arts d’Afrique, Paris, Hazan, 2006, ^p. 154-155. 4. Voir : Timothy Garrard, Gold of Africa, Munich, Prestel, 1989, p. 71, 194, 195. 5. En Côte d’Ivoire, le terme de « Basse-Côte » désigne les rivages du Golfe de Guinée. 6. Sur Harris, voir : Alain-Michel Boyer, Les Yaure de Côte d’Ivoire, Faire danser les dieux, Paris, Hazan, à paraître en septembre 2016. 7. Le Massa fut un culte iconoclaste, imprégné d’islam. Venu du Mali, ilconduisit à la destruction de grandes quantités de statues et masques senufo au nord de la Côte d’Ivoire. Certaines œuvres furent préservées par le père Convers et d’autres. 8. Ou Atié, mais les Ivoiriens aujourd’hui (dans les journaux notamment) écrivent désormais Akyé, et les Anglo-Saxons ont privilégié cette graphie. 9. Voir notamment : Denise Paulme, « Première approche des Atié (Côte d’Ivoire) », dans : Cahiers d’études africaines, vol. 6, n° 21, 1966, pp. 86-120 ; François Verdeaux, « Appartenance et dépendance. L’exemple du système de classes d’âge des Aïzi (Basse Côte d’Ivoire », Cahiers d’études africaines, vol. 17, n° 68, 1977, pp. 435-461 ; Marc Augé, « Note sur les rapports entre espace social et systèmes symboliques », Annales, Economies, Sociétés, Civilisations, 40e année, n° 6, 1985, pp. 1251-1259 ; Serge Tonay, « Vers une théorie des classes d’âge », Cahiers d’études africaines, vol. 28, n° 110, 1988, pp. 281-291 ; Stéphan Dugast, « Lignages, classes d’âge, village. A propos de quelques sociétés lagunaires de Côte d’Ivoire », L’Homme, 134, avr-juin 1995, pp. 111-157 ; François Verdeaux, « Classes de séniorité chez les lagunaires de Côte d’Ivoire. Une redistribution de l’identité et de la différence », L’Homme, 1995, tome 35, n° 134, n°134, pp. 81-109. 10. Voir Stéphan Dugast, « Classes d’âge, chefferie et organisation dualiste : les Abouré de la Basse Côte d’Ivoire», Cahiers d’études africaines, vol. 35, n° 138-139,1995, pp. 403-454. 11. Voir : Jean Paul Barbier-Mueller, Arts de la Côte d’Ivoire, Genève, Musée Barbier-Mueller, 1993, tome 2, pp. 175-176. 12. Voir : African Art in the Barnes Foundation, Skira/Rizzoli, 2015, p. 169-170. 13. Sur la statuaire baule, voir : Alain-Michel Boyer, Baule, « Visions d’Afrique », Milano, 5Continents, 2009. 14. « Un homme s’approcha de moi… il avait le visage couvert d’un masque assez bien fait… Je voulus acheter le masque…etc, etc. » (Camille Dreyfus, A la Côte d’Ivoire, six mois dans l’Attié, 1898, cité par le catalogue de Sotheby’s, 24 juin 2015, p. 64.) 15. Voir notamment à cet égard le masque de l’ancienne collection Charles Ratton (1895-1986), et le commentaire d’E. Féau, dans le catalogue Corps sculptés, corps parés, corps masqués, Paris, Galeries Nationales du Grand Palais, 18 octobre-15 décembre 1989, p. 149, planche 105. Voir également le masque « Attié » vendu par Sotheby’s, Catalogue du 25 juin 2015, pp. 62-65. 16. Voir dans le catalogue Corps sculptés, corps parés, corps masqués, Paris, Galeries Nationales du Grand Palais, 18 octobre-15 décembre 1989, p. 50-51, planches 7, 8, 9, 10. 17. Voir dans le catalogue Corps sculptés, corps parés, corps masqués, Paris, Galeries Nationales du Grand Palais, 18 octobr