references
« Alexandre », VITEBSK, 10 août 1812) ; le ministre de la Guerre le général Henry CLARKE (pièce signée « Cte d'Hunebourg », Paris, 1809, lettre signée « Cte d'Hunebourg », Paris, 1809, lettre signée « Duc de Feltre », Paris, 1812, lettre signée « Duc de Feltre », Paris, 1812, pièce signée « Duc de Feltre », Paris, 1815) ; le général Henri-François DELABORDE (lettre autographe signée, San Sebastian, 3 décembre 1808, lettre autographe signée, Toro, 1809) ; le ministre de la Guerre le général Pierre DUPONT DE L'ÉTANG (2 pièces signées, Paris, 1814) ; le général Alphonse-Louis GENTIL DE SAINT-ALPHONSE (pièce signée, Paris, 1818, lettre signée au maréchal OUDINOT, 1818, avec apostille autographe de celui-ci) ; le maréchal Laurent GOUVION-SAINT-CYR (lettre signée, Paris, 1818) ; le général Louis-Sébastien GRUNDLER (pièce signée, Paris, 21 mars 1815, lettre signée, Madrid, 1823, lettre signée au maréchal Oudinot, Vitoria, 1823) ; le général Armand Charles GUILLEMINOT (lettre signée, Paris, 1824) ; le maréchal Étienne Jacques Joseph Alexandre MACDONALD (lettre signée au maréchal Oudinot, Paris, 1823), le maréchal Nicolas Charles OUDINOT (lettre autographe signée « Le comte Chs Oudinot », Augsbourg, 1809, pièce autographe, s.l.n.d.) ; le ministre de la Guerre le maréchal Nicolas Jean-de-Dieu SOULT (lettre signée « mal duc de dalmatie », Paris, 1832) ; etc. Les titres honorifiques sont les suivants : chevalier, officier puis commandeur de la légion d'Honneur (notamment 2 lettres signées de Berthier, un brevet avec griffe de Louis XVIII et signature de Macdonald, une lettre signé par le ministre d'État Gustave Rouland), chevalier de l'Ordre bavarois de Max-Joseph (notamment un brevet signé par Maximilien-Joseph Ier de Bavière), chevalier de l'Ordre de Saint-Louis (brevet avec griffe de Louis XVIII), chevalier de l'Ordre espagnol de SaintFerdinand (brevet avec signature secrétaire de Ferdinand VII), titulaire de la médaille de Sainte-Hélène (brevet avec griffe du duc de Plaisance). Avec deux manuscrits autographes de Delamarre, dont un daté de 1826 contenant LE RÉCIT DÉTAILLÉ DU COMBAT DU 4 OCTOBRE 1813 À INTERBOCK ENTRE LE MARÉCHAL NEY ET LES TROUPES PRUSSIENNES AYANT PASSÉ L'ELBE, probablement écrit à la demande du général Pelet qui allait publier une série d'articles en 1826 et 1827 dans Le Spectateur militaire sur la campagne de 1813, et qui réunissait, selon sa méthode habituelle, des sources de première main. DELAMARRE Y DÉFEND L'HONNEUR DU MARÉCHAL OUDINOT EN IMPUTANT À UNE ERREUR DU MARÉCHAL NEY LE PASSAGE DE L'ELBE PAR BLÜCHER, ce qui va dans le sens des théories de Pelet qui considérait que les vues stratégiques très larges de Napoléon Ier avaient été mal comprises par ses subordonnés, notamment le maréchal Ney qui ne se porta pas vers Berlin comme l'empereur le lui demandait, ce qui permit une convergence des troupes ennemies sur Leipzig où eut lieu la bataille du 18 octobre perdue par les Français. « LE 4 OCTOBRE [1813], MONSIEUR LE MARÉCHAL [OUDINOT] ME DONNA L'ORDRE DE ME RENDRE AUPRÈS DU MARÉCHAL NEY POUR SAVOIR SES INTENTIONS relativement à son corps. Je trouvais le maréchal dans son logement faisant les dispositions pour la journée. IL ME FIT ENTRER ET ME DIT : "L'OPÉRATION DE BERLIN EST MAUVAISE ET JE NE VEUX PAS PLUS LA FAIRE QU'OUDINOT, c'est une affaire de gazette, dites donc au maréchal qu'il doit rester où il est, je vais me mettre à la tête du 4me corps (Bertrand), je pousserai jusqu'à Interbock. J'y trouverai le reste du corps de Traneuzen [?] que vous avez battu hier. J'y aurai peut-être un engagement. Je marquerai ainsi mon mouvement, MON INTENTION ÉTANT DE MARCHER SUR LA SILÉSIE OÙ ARRIVANT À L'IMPROVISTE NOUS POURRONS FRAPPER UN GRAND COUP... Ma marche sur Interbock devant faire au moins gagner deux journées à l'armée dont je rejoindrai l'arrière-garde par une marche de nuit". Le 4me corps exécutant déjà son mouvement lors