references
« Je sais tous Les soins que vous avez prodigués à L’empereur... »
16beAuhArnAIs (Hortense de). Lettre autographe signée « hortense » à Louis MARCHAND. Augsbourg, 20 avril 1822. 1/2 p. in-12. 200/300 €
« J’Ai REçu vOTRE lETTRE... ET lE pETiT MéDAillON DE ChEvEuX qui m’est bien précieux. JE SAiS TOuS lES SOiNS quE vOuS AvEz pRODiguéS à l’EMpEREuR. Sa famille en conservera toujours un doux souvenir, et c’est un titre que vous avez acquis à sa reconnaissance. J’ai chargé Mr le baron Devaux [l’ancien intendant de la Maison de la reine Hortense, le baron Michel-Victor-Frédéric Devaux-Moisson] de vous remettre une petite épingle. Je désire que ce foible souvenir vous prouve toute l’estime que m’a inspiré votre conduite et mes sentimens pour vous... » Lettre écrite d’Augsbourg où la reine Hortense avait acheté l’hôtel particulier Babenhausen, presque en même temps que le château d’Arenenberg, pour se rapprocher du séjour bavarois de son frère le prince Eugène. LOUIS MARCHAND AVAIT éTé LE COMPAGNON DE NAPOLéON Ier à SAINTE-HéLèNE : cf. ci-dessous le n° 40. JOINT, UNE NOTE MANUSCRITE DE LA COMMISSION CHARGéE DE RéGLER LA SUCCESSION DE NAPOLéON Ier, rédigée dans les années 1820, CONCERNANT LE COLLIER DE DIAMANT VENDU PAR HORTENSE à L’EMPEREUR en 1815 contre un bon de 200 000 francs : ce bijou avait été caché par Las Cases dans sa ceinture à bord du Bellérophon, et donné ensuite par Napoléon Ier sur l’île de Sainte-Hélène à Louis Marchand. Ce dernier en fit le récit dans la préface de son édition du précis des guerres de Jules César de Napoléon Ier publié en 1836.
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bADe (Stéphanie de Beauharnais, grande-duchesse de). Lettre autographe signée « Stéphanie » [à Louis MARCHAND]. Bade [Baden-Baden], 4 septembre 1822. 1 p. in-8. 100/150 €
COUSINE DE L’IMPéRATRICE JOSéPHINE ET FILLE ADOPTIVE DE NAPOLéON Ier, Stéphanie de Beauharnais (17891860), avait épousé sur la décision de l’empereur le prince Charles de Bade, lequel régna comme grand-duc de 1811 à 1818. Par son mariage, elle était la belle-sœur du tsar Alexandre Ier. « RiEN NE pOuvOiT M’êTRE pluS AgRéABlE, MONSiEuR, quE lE pRéSENT quE vOuS M’AvEz fAiT ; C’EST, pOuR MOi, uN SOuvENiR BiEN pRéCiEuX auquel se rattachent des sentiments qu’une grande infortune avoit encore augmentés. pour vous, Monsieur, quelques pénibles que soient les devoirs que vous avez si bien remplis, je vous trouve heureux d’avoir pu suivre les mouvements de votre reconnoissance ; j’ai voulu vous écrire pour vous faire mes remerciements et vous assurer de toute l’estime que je vous porte... » LOUIS MARCHAND AVAIT éTé LE COMPAGNON DE NAPOLéON Ier à SAINTE-HéLèNE : cf. ci-dessous le n° 40.
« vous avez rempLi Les désirs de L’empereur en vous unissant à La fiLLe de L’un de ses braves généraux... »
18bOnAPArte ( Julie Clary, madame Joseph). Lettre autographe signée « Julie Csse de Survilliers » [à Louis MARCHAND]. Bruxelles, 29 novembre 1823. 1 p. in-8 carré. 100/150 €
30 / OSENAT /